
Ainsi, sont nommés :
- Francis Bach, directeur de recherche à l’institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria) et membre de l’Académie des sciences
- Raja Chatila, professeur émérite de robotique, d’intelligence artificielle et d’éthique des technologies à Sorbonne Université
- Annabelle Collin, professeure de mathématiques à Nantes Université, sur proposition du président du C.N.R.S.
- Nicolas Curien, économiste du numérique, membre de l’Académie des technologies et ancien membre de l’Arcom et de l’Arcep
- Emmanuel Didier, sociologue, directeur de recherche au C.N.R.S. et professeur attaché à l’École normale supérieure, membre du Comité Consultatif National d'Éthique pour les sciences de la vie et de la santé (C.C.N.E.)
- Éric Germain, historien et anthropologue des religions
- Alexei Grinbaum, directeur de recherche au C.E.A., philosophe et physicien, président du Comité opérationnel pilote d’éthique du numérique du C.E.A.
- Ons Jelassi, enseignante-chercheuse, directrice de Télécom Paris Executive Education et entrepreneure
- Sylvie Joseph, administratrice du groupe La Poste, membre du directoire de Rennes School of Business et du groupe de travail confédéral sur le numérique et l'IA de la C.F.D.T.
- Yassine Lakhnech, président de l’Université Grenoble Alpes
- Yannick Meneceur, magistrat de l’ordre judiciaire
- Mireille Régnier, directrice de recherche d’Inria et présidente du Comité opérationnel d'évaluation des risques légaux et éthiques (COERLE)
- Jean-Luc Sauron, conseiller d’État
- Brigitte Seroussi, P.U.-P.H. en informatique biomédicale et santé numérique
- Fabien Tarissan, directeur de recherche en informatique au C.N.R.S. et professeur attaché à l’ENS Paris-Saclay, membre de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL)
- Catherine Tessier, directrice de recherche et référente intégrité scientifique et éthique de la recherche de l’Office national d'études et de recherches aérospatiales (ONERA)
- Marianne Tordeux-Bitker, avocate de formation et directrice des affaires publiques et de la RSE de la Mutuelle Nationale des Hospitaliers
- Serena Villata, directrice de recherche en informatique au C.N.R.S.
- Sandrine Zientara, présidente de chambre et directrice du service de la documentation, des études et du rapport de la Cour de cassation
- Célia Zolynski, professeur de droit privé à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Les membres du C.C.N.E.N. sont nommés en raison de leurs compétences reconnues et de leur engagement dans le débat public. Ils exercent leur mission à titre bénévole et en toute indépendance vis-à-vis des institutions qui les désignent. Leur diversité permet une réflexion collective ouverte et éclairée.
« L'éthique, réflexion relative aux conduites humaines et aux valeurs qui les fondent, est une aide au progrès, bien au contraire d’un frein. Notre rôle est d’éclairer la société, les décideurs, les citoyens pour que les innovations numériques bénéficient à toutes et tous, dans le respect des valeurs humanistes », indique Claude Kirchner, Président du C.C.N.E.N.
La création du C.C.N.E.N. répond à la nécessité de renforcer la souveraineté éthique, scientifique et technologique de la France et de l’Europe dans le numérique. Dans le prolongement des travaux du Comité national pilote d’éthique du numérique, ses membres auront pour responsabilité de produire des analyses accessibles et utiles aux pouvoirs publics comme aux citoyens.
« L'éthique, réflexion relative aux conduites humaines et aux valeurs qui les fondent, est une aide au progrès, bien au contraire d’un frein. Notre rôle est d’éclairer la société, les décideurs, les citoyens pour que les innovations numériques bénéficient à toutes et tous, dans le respect des valeurs humanistes », indique Claude Kirchner, Président du C.C.N.E.N.
La création du C.C.N.E.N. répond à la nécessité de renforcer la souveraineté éthique, scientifique et technologique de la France et de l’Europe dans le numérique. Dans le prolongement des travaux du Comité national pilote d’éthique du numérique, ses membres auront pour responsabilité de produire des analyses accessibles et utiles aux pouvoirs publics comme aux citoyens.