«La France à l’Heure des choix » : le Leem lance une campagne pour alerter sur l’accès des patients au progrès thérapeutique

Déployée du 17 novembre au 20 décembre 2025 sur les réseaux sociaux, la campagne s’articule autour de deux futurs possibles selon le choix que la France fera :

Faire le choix d’investir dans le progrès thérapeutique : pour protéger les patients, renforcer l’économie et préserver notre souveraineté sanitaire.
Ne pas agir : s’exposer à une perte d’attractivité de la France pour la recherche, à un affaiblissement industriel et in fine soumettre les patients à des délais d’accès toujours plus longs aux médicaments et traitements.

Chaque visuel de la campagne, déclinée sur plusieurs cas d’usage, propose un choix entre deux options qui mènent à ces deux futurs opposés pour les patients. Ces récits illustrés, qui reposent sur des situations chiffrées, entendent rappeler que derrière chaque choix budgétaire ou réglementaire, il y a des vies, des familles, et l’avenir de notre système de santé.

Le médicament, un enjeu stratégique pour la santé et l’économie

Le dernier Observatoire sociétal du Leem montre que les Français expriment une attente claire : soutenir la recherche et la production de médicaments, plutôt que réduire les dépenses d’un secteur reconnu par les Français comme innovant. Et pour cause. Un secteur du médicament dynamique, c’est un accès plus rapide aux traitements pour les patients, une meilleure santé publique, moins de pression sur les hôpitaux, des emplois qualifiés sur tout le territoire, une production locale et résiliente, et une souveraineté sanitaire préservée.

Un appel à l’action

Investir, simplifier l’accès aux traitements et moderniser la régulation économique, c’est considérer le médicament non pas comme un coût, mais comme un investissement stratégique pour la santé, l’emploi et la souveraineté du pays.

« Le progrès thérapeutique est une chance pour la France. Elle sauve des vies et renforce notre souveraineté. Mais elle nécessite des choix courageux dès aujourd’hui. Si l’on veut préserver les chances pour les patients français à être soignés selon les meilleurs standards, si l‘on ne veut pas décourager totalement l’investissement et le progrès thérapeutique dans notre pays, c’est un virage à 180 degrés qu’il faut prendre par rapport au PLFSS en cours », déclare Stéphane Lassignardie, président de la Commission Communication du Leem.

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