Les blocs opératoires représentent une part majeure de l’impact environnemental d’un établissement de santé : 15% de sa consommation énergétique, 20 à 30% de ses déchets… Et pourtant de nombreux leviers peuvent être activés pour réduire cet impact car :
o Seuls 13 à 22% des instruments sont réellement utilisés lors d’une intervention chirurgicale.
o En anesthésie, 20 à 50% des médicaments préparés à l’avance sont inutilisés.
o Les gaz halogénés représentent près de 2% des émissions de gaz à effet de serre du système de santé.
o Le protoxyde d’azote, utilisé au bloc opératoire, est l’agent principal de destruction de la couche d’ozone.
L’éco-conception des soins permet d’atténuer l’empreinte environnementale mais questionne également la pertinence des soins réalisés, en poursuivant l’objectif d’améliorer la qualité de la prise en charge, au bénéfice des patients ainsi que des soignants.
Les professionnels du bloc opératoire, médicaux, soignants, techniques, sont en première ligne.
L’ambition de ce guide est de centraliser de façon claire et opérationnelle les différentes recommandations et bonnes pratiques existantes. Association française de chirurgie (AFC), Groupe francophone de réhabilitation améliorée après chirurgie (GRACE), Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR), Société française d’hygiène hospitalière (SF2H), Société française de pharmacie clinique (SFPC) mais également l’ARS et l’Omédit Normandie…
8 sociétés savantes et acteurs de référence ont alimenté les recommandations opérationnelles de ce référentiel.
o Seuls 13 à 22% des instruments sont réellement utilisés lors d’une intervention chirurgicale.
o En anesthésie, 20 à 50% des médicaments préparés à l’avance sont inutilisés.
o Les gaz halogénés représentent près de 2% des émissions de gaz à effet de serre du système de santé.
o Le protoxyde d’azote, utilisé au bloc opératoire, est l’agent principal de destruction de la couche d’ozone.
L’éco-conception des soins permet d’atténuer l’empreinte environnementale mais questionne également la pertinence des soins réalisés, en poursuivant l’objectif d’améliorer la qualité de la prise en charge, au bénéfice des patients ainsi que des soignants.
Les professionnels du bloc opératoire, médicaux, soignants, techniques, sont en première ligne.
L’ambition de ce guide est de centraliser de façon claire et opérationnelle les différentes recommandations et bonnes pratiques existantes. Association française de chirurgie (AFC), Groupe francophone de réhabilitation améliorée après chirurgie (GRACE), Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR), Société française d’hygiène hospitalière (SF2H), Société française de pharmacie clinique (SFPC) mais également l’ARS et l’Omédit Normandie…
8 sociétés savantes et acteurs de référence ont alimenté les recommandations opérationnelles de ce référentiel.
Le référentiel propose 9 fiches pratiques permettant de réduire l’impact écologique des blocs opératoires : réduire les vapeurs d’anesthésie halogénées, diminuer voire arrêter le protoxyde d’azote, optimiser la préparation à la chirurgie, repenser la préparation en avance des médicaments et DM, ajuster prescriptions et galénique, agir contre la surconsommation des produits de santé, limiter les tenues à usage unique, gérer et réduire les déchets, réaliser des économies d’énergie.
Pour chaque levier, une fiche récapitule l’impact environnemental, les recommandations des sociétés savantes et les témoignages d’établissements qui ont mis en place ces actions. Les bonnes pratiques sont hébergées sur la Plateforme nationale des bonnes pratiques de l’Anap.
En adoptant les recommandations de ce référentiel, les professionnels de santé pourront non seulement réduire leur empreinte écologique, mais également réaliser des économies et améliorer la qualité des soins prodigués.
> Télécharger la publication « Premier référentiel national pour un bloc éco-responsable »
Pour chaque levier, une fiche récapitule l’impact environnemental, les recommandations des sociétés savantes et les témoignages d’établissements qui ont mis en place ces actions. Les bonnes pratiques sont hébergées sur la Plateforme nationale des bonnes pratiques de l’Anap.
En adoptant les recommandations de ce référentiel, les professionnels de santé pourront non seulement réduire leur empreinte écologique, mais également réaliser des économies et améliorer la qualité des soins prodigués.
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